Dans l'article "Nul n'est prophète dans son pays"" de septembre 2009, j'avais promis des vues du mur des camélias en fleurs pour me racheter de ma bévue,voyez donc ce qui suit...
Orsan possède un camélia "Sasanqua" ( terme venant du japonais "sasanka"),laisser libre de développement il est situé près de notre atelier dans un coin des bâtiments.
Abrité du soleil brûlant,exposé au nord il tient la bavette à un Hydrangea petiolaris qui lui aussi est satisfait de ce bout de terre!
Le "Camellia sasanqua"est plutôt facile de culture semble t-il?...ses fleurs roses produisent un parfum vert frais,et sa floraison est généreuse.
Frileux aux grands froids ,il vit mieux dès qu'il est cultivé au sud de la Loire et il a le sourire tant que ses pieds ne sont pas dans des terres excessivement calcaires. Trop d'engrais,courants d'air ,vents froids et températures très hautes ou...très basses donc, sont aussi des ennemis potentiels pour ce camélia comme ses copains du même genre.
Cette espèce fleurit tout aussi bien en automne (sept et octo) et fin d'hiver voire parfois décalé sur le printemps.
Le genre Camellia est très connu et apprécié pour ses arbustes à floraison si visuelle et ses arbustes dont on aime les feuilles en infusion ; le théier (C.sinensis).
Les camélias blancs palissés au mur du Prieuré ont cette faiblesse commune aux fleurs de coloris blanc ( je pense au lilas!).C'est une évidente sensibilité à la pluie qui les fait vite décliner et pourrir. Parfois même c'est en bouton que la fleur commence à pâtir de l'humidité et qui tombe avant même de s'ouvrir.
Couleur blanche montrée du doigt?Coupe de fleurs aux pétales très serrées qui réceptionne l'eau abondamment?Que faut-il incriminé,est-ce une combinaison des deux...toujours est-il que la floraison de ces derniers camélias est très aléatoire.
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